Ce matin, les tortues se sont mises à chanter. Bizarre, bizarre… Je ne les savais pas capables de chanter.
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Ce matin, les tortues se sont mises à chanter. Bizarre, bizarre… Je ne les savais pas capables de chanter.
De solitudes en solitudes, d’amertumes en sérénités, elle promène son désarroi.
Un néant, surgi du fond de sa peine, cherche à happer l’éternelle en attente d’amour.
Texte sans un seul « a »
Des amours multicolores
Jonglent dans l’humide
De mes ciels enchanteurs.
Froid qui pique
As de pique
Qui me l’a dit ?
Est-ce la souris ?
Les mots glissent, glissent les uns sur les autres, se mêlent, s’entremêlent. Ils forment un écheveau compliqué dont il est impossible de découvrir le début et la fin.
Cette nuit j’ai rêvé…
J’ai rêvé d’un amour si grand qu’il effaçait toutes les peines du monde.
− Poussière, poussière ! Retourne à la poussière !
Debout, le dos tourné… retourné, détourné de son objectif. Ce dos qui lui fait face.